Bachelor Agroécologie : faire le choix d’être acteur de sa formation

Samuel Campion, étudiant en Bachelor Agroécologie et systèmes alimentaires.

Qu’est ce qui t’a donné envie de suivre le cursus Bachelor Agroecologie et systèmes alimentaires à l’ESA ?

« Issu d’un Bac général avec les spécialités SVT, physique-chimie et maths complémentaires, j’avais un profil plutôt scientifique. J’étais intéressé par des études d’Ingénieur mais le côté classique des cours ne me correspondait pas. J’avais envie d’être actif, de bouger dans ma formation, et c’est là que j’ai découvert le Bachelor. C’est un concept pédagogique totalement différent car on apprend par projet, et l’élève est impliqué dans ce qu’il fait. On investit les savoirs que l’on a acquis et ceux-ci sont retranscris par la suite dans un livrable : livret, journal, support… par exemple un carnet de cuisine porté sur une nouvelle approche plus en accord avec les valeurs agroécologiques. C’est valorisant pour l’élève et pour l’école car il y a une sorte de témoignage de cet apprentissage. »

 

J’avais envie d’être actif, de bouger dans ma formation, et c’est là que j’ai découvert le Bachelor. C’est un concept pédagogique totalement différent car on apprend par projet, et l’élève est impliqué dans ce qu’il fait.

 

Le mode d’apprentissage est valorisant pour toi, trouves-tu d’autres atouts à l’ESA (stages, partenariats, dimension internationale) ?

« À l’ESA on a une prise en charge assez importante, on rencontre beaucoup de professionnels, notamment lors des nombreux salons : Salon de l’Agriculture et beaucoup d’autres à travers la France. Par ailleurs, il y a beaucoup de temps sur le terrain, à titre indicatif nous avons 4 semaines (minimum) en première année, 8 semaines (minimum) en deuxième année et 25 semaines en troisième année. En deuxième année on part également trois mois aux Pays-Bas où les cours sont entièrement dispensés en anglais, tout comme les évaluations, donc c’est un challenge. Ce qui bien, c’est qu’on est accompagné et soutenu lors de cette période passionnante, et à la fois qui nous sort beaucoup de notre zone de confort. Un temps pour visiter des exploitations, des usines, des fermes et diverses infrastructures… Et pourquoi pas l’occasion de commencer à créer notre projet professionnel et le réseau qui lui est nécessaire. J’aime la culture végétale et le maraîchage sous serre, c’est ma passion, mais je reste réceptif aux opportunités qui peuvent se présenter. C’est l’un des énormes avantages du Bachelor, comme c’est une formation assez générale, cela permet de garder les portes ouvertes. La diversité des enseignements (production, transformation, vente, conseil) laisse le choix, même si le projet professionnel n’est pas clairement défini à l’entrée en formation. »

Si tu devais dire un mot aux lycéens qui seront étudiants l’année prochaine, lequel serait-il ?

« Soyez acteur de ce que vous faites ! La passion est ce qui permet la réussite, c’est le moteur qui vous ouvrira les portes de ce qui vous fait vraiment vibrer. Une fois que l’on aime un domaine, il faut savoir s’investir et plonger à fond dedans, même si on ne sait pas toujours exactement où l’on va. Aimer ce qu’on fait et avoir envie d’aller chercher au-delà, d’en apprendre toujours plus ! L’ESA et le Bachelor proposent un cursus engagé vers les transitions écologiques et agricoles. Des thématiques porteuses qui sont au cœur de l’actualité car elles touchent tout le monde et les jeunes en particulier. Nos cours sont orientés vers tous les types d’agricultures, il ne s’agit donc pas uniquement d’écologie, mais d’être au cœur des alternatives énergétiques en ce qui concerne les activités agricoles : comment produire l’énergie de demain pour faire avancer et fonctionner un modèle agricole ? Et c’est ça ce qui est vraiment intéressant et valorisant : être acteur de ces transitions agroécologiques. »

🔗 En savoir + sur le bachelor : https://www.groupe-esa.com/formation/bachelor-agroecologie-systemes-alimentaires/